Même si Sainte-Luce n’a pas connu de féminicide, elle est concernée par un phénomène qui touche toute la société. C’est pourquoi elle s’est mobilisée dans le cadre du Grenelle de lutte contre les violences sexistes et sexuelles et de son comité de prévention et de tranquillité publique. Concrètement, il s’agit de formaliser un partenariat avec la Préfecture, la Gendarmerie, le tribunal, l’éducation nationale, les bailleurs sociaux et plusieurs associations. La signature du contrat aura lieu le 13 février en mairie, après avoir été présenté au conseil municipal le 11 février. Ce partenariat permettra de mener plusieurs actions : sensibilisation au collège, prise en charge des femmes victimes, facilitation du dépôt de plainte… La Ville a confié le suivi de cette mission à une professionnelle du CCAS, une « référente violence intra-familiale ».